Le couvre-feu de Brice Hortefeux

Samedi 24 octobre

Les Drouais avaient déjà entendu parler du couvre-feu qui cible les mineurs de moins de 13 ans susceptibles de commettre des actes de délinquance. En juillet 1997, le maire (qui n'a pas changé) avait pris un arrêté qui avait été très médiatisé (voir l'article de Libération sur ce blog). Cet arrêté stipulait que " tout enfant de moins de 12 ans qui flânerait dans les rues de la ville entre minuit et six heures du matin pourrait être conduit au commissariat ". Nous nous étions, à l'époque, vivement opposés à cet arrêté, qui avait été annulé, dès le mois d'octobre, par le tribunal administratif d'Orléans.

Papa et son fiston

Vendredi 23 octobre

De 81 à 95, l'Elysée abritait " Tonton, ". Aujourd'hui on y trouve " Papa " et son " fistonné ".

Trois immigrés afghans expulsés

Jeudi 22 octobre

En procédant à des expulsions collectives vers un pays en guerre, Besson sait parfaitement que la sécurité des exilés ne peut être assurée en Afghanistan. Il bafoue les principes élémentaires du droit d'asile.

La RN 154

Samedi 17 octobre

Hier, au Ciné-Centre, c'était la première réunion du débat public pour l'aménagement de RN 154. Environ 400 personnes. " Un dossier orienté ", tel a été le commentaire de Daniel Frard, maire PS de Vernouillet, après la présentation accompagnée d'un film. En gros : ou, grâce à la mise en concession, nous aurons notre autoroute de Nonancourt à Allaines dès 2018, ou  la mise en 2x2 voies progressive nous emmènera jusqu'à 2080. Que de morts sur le partie sud de la RN 154 et de nuisances à Saint-Rémy d'ici là, veut-on nous faire dire. Les 400 personnes présentes n'ont pas apprécié cette façon grossière de présenter le débat.
A suivre... le 28 novembre, le 7 décembre et le 19 janvier, toujours au Ciné-Centre.

Suicide après suicide chez France Télécom et ailleurs

Lundi 5 octobre

Pour lutter contre le déficit de l'assurance-maladie, le gouvernement propose de durcir la lutte contre les arrêts maladie jugés injustifiés. 
Depuis des années, on sait que les pathologies du travail augmentent en gravité et l'arrêt maladie est la seule arme du médecin généraliste pour sortir un salarié au bord du suicide de sa situation de travail. Combien faudra-t-il de suicides de plus pour que les ultra-libéraux prennent la mesure de la gravité de la situation ?